Lundi sourire
Bonjour à toutes !
Et bien voilà, c'est la reprise, la rentrée. J'aime cette période. La chaleur devient plus supportable (quoique cette année, on ne peut dire que nous ayons étouffé !) et surtout, cette fin de l'été, pour moi, c'est la rentrée des classes. J'aimais beaucoup l'école, d'ailleurs, ce n'est pas pour rien que je fais des formations, à mon travail. J'aime voir les feuilles changer de couleur, puis tomber et se réunir dans un coin, poussées par le vent. J'aimais sauter à pieds joints dans ces tas de feuilles. J'aime toujours, mais je me retiens, alors, pour avoir un peu de cette sensation de l'enfance, je vais marcher dedans, en traînant les pieds, l'air de rien... Bon, vous l'aurez compris, j'aime l'automne ! Mais, je m'égare ! Je suis venue pour relancer les lundis sourire, si vous êtes toujours intéressées.
Pour débuter en douceur, ce matin, trois petites blagues :
Un représentant en aspirateurs débarque chez une vielle dame qui habite une maison isolée
au bout du village. Sans lui laisser placer un mot, il lui dit :
- Madame, je vais vous faire une démonstration de la merveille des merveilles,
le nouvel aspirateur "CYCLONE", l'aspirateur qui aspire tout en quelques secondes !
Où est votre poubelle ? Dans votre cuisine ? Je m'en doutais ! Permettez-moi de la prendre !
Il prend la poubelle et la vide sur la moquette au milieu du salon.
- Ne vous inquiétez pas ! Car à présent, avec l'aspirateur "CYCLONE" je vais faire disparaître
totalement toutes ces ordures ! Je m'engage personnellement à manger devant vous tout ce qui resterait sur le sol !
- Attendez monsieur ! L'interrompt la vielle dame. Je vais vous chercher du sel et du poivre, voyez-vous, je n'ai pas l'électricité...
Un touriste breton dont la voiture est immatriculée 56 (Morbihan) descend le bd. D’ATHENES pour se rendre sur le Vieux Port.
Comme d’habitude, c’est l’embouteillage, et devant lui se trouve la voiture d’un papi marseillais.
Le dit papi change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite.
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser.
Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle :
"Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! On roule à droite un point c’est tout."
Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton avec étonnement et lui répond :
"Oh fada ! Ici on est à Marseille! On roule ni à droite ni à gauche !"
Le breton : "Ah bon ! Et vous roulez où à Marseille ?"
Le papi : "He ! comme d’habitude, on roule à l’ombre !"
Le professeur a donné un travail à ses élèves d’une classe de cinquième:
"Demandez à vos parents de vous raconter une histoire avec une morale à la fin."
Le lendemain, les enfants sont revenus et, un par un, ont commencé à raconter leurs histoires. Il y avait toutes sortes d’histoires...du lait renversé au dollar sauvé.
Seul Pierre n'avait rien raconté.
- Pierre, as-tu une histoire à partager avec nous ?
- Oui madame ! Mon papa m'a raconté une histoire au sujet de ma maman. Elle était pilote et son avion a été touché.Elle a dû s'éjecter au-dessus du territoire ennemi, et tout ce qu'elle avait,c'était une bouteille de whisky, un pistolet et un couteau de survie.
Elle a bu le whisky en descendant afin que la bouteille ne se brise pas, et puis son parachute la déposa au milieu de 20 rebelles irakiens.
Elle en a abattu 12 avec son pistolet, jusqu'à ce qu'elle manque de balles. Puis, elle en a tué 4 de plus avec son couteau, jusqu'à ce que la lame se brise. Enfin, elle a tué les 4 derniers avec ses mains nues.
- Seigneur ! dit le professeur horrifié. Qu'est-ce que ton papa t'a dit au sujet de la morale de cette histoire horrible ?
- Qu’il ne faut pas faire chier maman quand elle a bu.
Passez une bonne semaine !
Bisous bisous